A la limite, les
échanges cellulaires qui n’ont rien donné,
Et les styles piochés, idem
Nous sommes le 7 juin
2014, il fait un peu frais … il
est 11h30 du soir … alors que la nuit a
depuis longtemps recouvert la Tour Eiffel, soonparo s’apprête à regagner son
domicile dans un état d’hébriété (sic) avancé,
après avoir passé la soirée à
jouer aux cartes et à boire en compagnie de ses amis (sic) au premier étage du Palais de Tokyo.
Arrivant au rez-de-chaussée, et
avant de s’engager dans l’escalier qui mène
à l’étage inférieur, soonparo jette un dernier regard stupide (sic) et respectueux à tous ces vastes espaces protégés que
renferme la noire bâtisse. soonparo descend
maintenant les quelques marches
qui l’amènent au sous-sol, afin de
déposer le dvd « Faut pas prendre les enfants du bon dieu pour
des canards sauvages » de Michel
Audiard dans la DVDthèque de la « Flamme éternelle » (sic) de Thomas Hirschhorn. A 11h38, après
avoir pris soin de recouvrir la jaquette
couleur d’origine par une
jaquette N&B de style « photocopie », photoshoping remanié avec grande précision l’après-midi
même, et en accord avec l’ensemble, soonparo
glisse discrètement l’objet dans
les rayonnages.
Il est 11h 42, quand le sujet et la photographe (Nathalie Lacroix) regagnent
leurs ami-E-s sur les marches du Palais.
(241) TERMINÉ !
Et voilà ! Tu t’en fiches toi, mais c’est ce qui me
fait vivre ma vieille !
Puis il y eut ce coup de sonnette annonciateur de drames, de malheurs et de sang qu’il eut mieux valu que personne n’entendit !
Ding Ding ??
Mlle Adèle BLANC-SEC ? Je me présente, [ … ]
! ?
HA ! HA ! HA ! PAN ! PAN ! FFFFFFFF (299)
Tiens ! vous avez une momie !
Que voulez-vous …
Visiter le terrain constructible de soonparo et Cline Minard dans le
champ Google Image
A la limite, les
échanges cellulaires qui n’ont rien donné,
Et les styles piochés, idem
Et les styles piochés, idem
Nous sommes le 7 juin 2014, il fait un peu frais … il est 11h30 du soir … alors que la nuit a depuis longtemps recouvert la Tour Eiffel, soonparo s’apprête à regagner son domicile dans un état d’hébriété (sic) avancé, après avoir passé la soirée à jouer aux cartes et à boire en compagnie de ses amis (sic) au premier étage du Palais de Tokyo. Arrivant au rez-de-chaussée, et avant de s’engager dans l’escalier qui mène à l’étage inférieur, soonparo jette un dernier regard stupide (sic) et respectueux à tous ces vastes espaces protégés que renferme la noire bâtisse. soonparo descend maintenant les quelques marches qui l’amènent au sous-sol, afin de déposer le dvd « Faut pas prendre les enfants du bon dieu pour des canards sauvages » de Michel Audiard dans la DVDthèque de la « Flamme éternelle » (sic) de Thomas Hirschhorn. A 11h38, après avoir pris soin de recouvrir la jaquette couleur d’origine par une jaquette N&B de style « photocopie », photoshoping remanié avec grande précision l’après-midi même, et en accord avec l’ensemble, soonparo glisse discrètement l’objet dans les rayonnages.